Crédit photo Martin Viezzer / Team Arkéa Paprec
Expertise, performance, écoute, force de frappe : ils ont choisi Incidence pour leur Vendée Globe
Dans un mois, ils seront tous amarrés au célèbre ponton des Sables d’Olonne. Clément Giraud (Compagnie du lit / Jiliti), Stéphane Le Diraison (Time for Oceans), Sébastien Simon (Arkéa Paprec), Maxime Sorel (V and B – Mayenne) seront dans les starting-blocks de leur Vendée Globe. Pour préparer leur circumnavigation solitaire, ils ont tous trois choisi de travailler avec la voilerie Incidence. Témoignages…
Clément Giraud (La Compagnie du lit /Jiliti) : » une écoute de grande qualité et du répondant »
Coupe de l’America, TP 52, Mini, Trimaran Orma… jusqu’à la « babouche » de Sébastien Roubinet, Clément Giraud a navigué sur toutes les mers du monde et sur une multitude de supports en course, au large. Ses rêves de Vendée Globe ont failli s’envoler en fumée l’an dernier, juste avant le coup d’envoi de la Transat Jacques Vabre, sa détermination et la solidarité des gens de mer, et notamment d’Erik Nigon*, ont eu raison de ce coup du sort : ce marin venu du sud sera bel et bien au départ du tour du monde le 8 octobre. Il sera équipé d’une grand-voile et d’un gennaker en DFi®.
« J’ai travaillé en voilerie quand je suis arrivé en métropole, c’est un milieu que je connais bien et je connaissais déjà un peu tout le monde chez Incidence.
J’ai toujours dit que la meilleure voilerie, c’est celle qui est près de son bateau ! Mais je savais aussi qu’Incidence est une des rares équipe à avoir l’expérience et la structure pour réussir à faire quelque chose de bien. Enfin, le fait que la membrane soit fabriquée en France, à Périgny, est un gros plus, ça permet un suivi, c’est important.
Une de mes priorités étaient de gagner du poids et je savais qu’avec le DFI® ce serait le cas. Je voulais aussi de jolis profils, une belle GV notamment, pour gagner ce que je pourrais gagner en vitesse, même sur un bateau de l’ancienne génération.
Les échanges avec l’équipe sont tops. Il y a une écoute de grande qualité et du répondant, de l’expérience : on se sent vraiment accompagné. »
* Erik Nigon a mis son IMOCA « Vers un monde sans Sida » à la disposition de Clément Giraud
Stéphane Le Diraison (Time for Oceans) : » je suis vraiment satisfait du DFi® «
Mini, Class40, IMOCA… Stéphane a gravi les échelons de la course au large avec talent, tout en préservant son statut d’amateur jusqu’à son arrivée sur le circuit IMOCA. Là, impossible de garder un rythme de vie de terrien, préparer un tour du monde exige un engagement total.
Pour son deuxième Vendée Globe le skipper de Time for Oceans a choisi de s’engager dans un programme le plus respectueux possible de l’environnement : faisant ainsi appel à des matériaux recyclables, durables, locaux… C’est dans cette logique qu’il s’est tourné vers la voilerie Incidence et sa membrane filamentaire, conçue pour durer.
« Côté performance, je suis vraiment satisfait du DFi® : les voiles ont un très joli profil, une belle tenue de forme, elles sont légères. J’ai gagné beaucoup de poids. Les voiles sont belles, elles sont toutes réussies, c’est une grande satisfaction. Je suis aussi satisfait du service et les prix ont été conformes aux engagements.
Il y a beaucoup d’échanges avec l’équipe Incidence, les interlocuteurs (Ronan et Max au BE et César en coordinateur) sont tous compétents et réactifs, il y a une véritable écoute, le cahier des charges a été respecté. Le résultat, ce sont des voiles sur-mesure qui répondent parfaitement à ma demande.
Avec le programme Time for Oceans je me suis engagé à réduire au maximum l’impact environnemental de mon projet : limiter les transports, utiliser des matériaux durables, faisaient partie de mes critères de choix pour Incidence. »
Sébastien Simon (Arkéa Paprec) : » les voiles sont performantes et tombent toujours bien «
Entouré d’une équipe de haut niveau, Sébastien Simon, issu de la filière olympique et de la très exigeante école du Figaro, s’attaque à son premier Vendée Globe à la barre de l’un des foilers dernier-cri de la flotte. Avec Vincent Riou, ils ont choisi Incidence Sails et la patte de Maxime Paul pour concevoir le « moteur » de ce foiler novateur : « pour la qualité des profils, la proximité… Je suis super content de mes voiles, elles sont performantes et tombent toujours bien. Maxime Paul fait un excellent travail, il y met beaucoup d’énergie. A chaque fois, c’est un plaisir d’échanger avec l’équipe incidence. Ils ont été super attentifs à nos problématiques en terme de timing, notamment, ce qui ne les a pas empêchés de fournir un travail hyper soigné.
Tout est fabriqué en France, c’est gros plus, et cela facilite encore les échanges et le suivi de production. »
Maxime Sorel (V and B – Mayenne) : » j’ai vu la force de frappe d’Incidence «
Tout droit venu du Class40, Maxime Sorel a débarqué avec fraicheur, humilité et enthousiasme sur le circuit IMOCA en 2019. Il a très vite pris ses marques sur le circuit IMOCA, avec de très honorables résultats à la clé.
Il a choisi de travailler avec l’équipe Incidence pour sa capacité à répondre aux exigences d’un projet Vendée Globe, la qualité des profils et des matériaux proposés, ainsi que pour l’origine 100% made in France de ses voiles.
« La voilerie a su répondre à mes exigences : les voiles sont performantes, solides et légères. J’ai vu la force de frappe d’Incidence et sa capacité à dessiner et produire un jeu de voiles dans un timing serré. Ils sont à l’écoute, très présents, il y a un vrai suivi : ils sont aux petits soins ! Nous avons aussi eu la chance de voir la production des membranes chez Incidence Technologies et la finition des voiles à La Rochelle.
Et, la cerise sur le gâteau, c’est que tout est produit en France ! »
Warm-up du Vendée Globe, le Défi Azimut s’est tenu mi-septembre à Lorient, avec à la clé 2 podiums sur 3 pour la voilerie Incidence :
– Sébastien Simon (Arkéa Paprec) : 3e des runs et 6e des 48h
– Maxime Sorel (V and B – Mayenne ) : 3e du Tour de Groix (11e des 48h et 2e bateau à dérives)
– Stéphane Le Diraison (Time for Oceans) : 10e des runs et 16e des 48h, le bateau a été mis à l’eau à la fin de l’été, Stéphane le prend en main suites aux nombreuses modifications qui y ont été apportées.